FAQ Epreuve de spécialité - écrit

Réponses aux questions les plus fréquemment posées à propos de l'épreuve écrite de spécialité SIG

Quelles différences entre GSI et SIG ?

La partie écrite comporte désormais deux sous-parties : une première sous-partie qui comportera des travaux mobilisant les outils de gestion : l’objectif étant de “faire pour comprendre” les décisions, les choix de l’organisation en analysant une situation, mobilisant et produisant de l’information grâce à la mise en oeuvre de techniques, méthodes, outils. Comprendre l’organisation, les acteurs, les besoins d’information, l’utilité des informations et des traitements, montrer leurs intérêts et limites…
Dans une deuxième sous-partie, il s’agira de répondre à une question relative à une problématique de gestion en lien avec les situations et les thèmes du programme abordés dans la première sous-partie.
 
Extrait de la définition de l’épreuve écrite : « La partie écrite de l'épreuve de spécialité comporte deux sous-parties qui peuvent être traitées de manière indépendante.
La première sous-partie vise à évaluer si le candidat est capable :
- d'analyser une situation de gestion ;
- de produire, utiliser, interpréter et de contrôler l'information ;
- de proposer, présenter et justifier une solution ;
- de mettre en œuvre les méthodes, les techniques et les outils appropriés ;
- de montrer l'intérêt et les limites des méthodes, des techniques et des outils employés.
La seconde sous-partie vise à évaluer si le candidat est capable :
- de raisonner en confrontant ses connaissances générales en gestion à des situations d'organisation ;
- d'examiner les conditions de transfert des méthodes, des techniques et des outils mobilisés, à d'autres contextes organisationnels ;
- de rédiger une réponse synthétique, cohérente et argumentée. »

Quel est le barème entre les deux sous-parties ?

Les sujets 0 de chaque spécialité ont fait apparaître les ordres de grandeurs de répartition suivants sur 20 points :

  • Partie 1 : entre 14 et 16 points
  • Partie 2 : entre 6 et 4 points

Extrait de la définition de l’épreuve écrite : Le sujet mentionne le nombre de points affectés à chacune des sous-parties.

Quels sont les durées et coefficients des épreuves ?

Extrait de la définition de l’épreuve écrite : « Durée : 4 heures pour la partie écrite, partie pratique évaluée en cours d'année.
Coefficient : 12 (chacune des deux parties de l'épreuve est affectée d'un coefficient 6) »

La première sous-partie de l’épreuve écrite comportera-t-elle des éléments de programmation ?

Une épreuve d’examen permet d’évaluer par sondage les connaissances et les capacités acquises en formation. Il est donc possible que des éléments de compréhension d’une logique de programme soient évalués. Les éléments d’un langage nécessaires à la compréhension figureront dans le sujet.

Y-aura-t-il un mémento ?

Non, les éléments nécessaires figureront dans le sujet.

La calculatrice sera-t-elle autorisée ?

Il n’est pas possible de répondre à cette question de manière universelle, cela dépendra des travaux demandés dans le sujet. 

La question relative à une problématique de gestion sera-t-elle une question de cours ?

Non, la question liée à une problématique de gestion sera une question qui doit permettre de mobiliser ses acquis, (notions, exemples d’organisations…) pour répondre à la question de façon argumentée. Pour constituer une argumentation, les arguments doivent être ordonnés avec des connecteurs logiques (voir : http://www.espacefrancais.com/les-connecteurs-logiques/#d) pour présenter le raisonnement constituant la réponse à la question posée.
 
Extrait de la définition de la partie pratique de l’épreuve de spécialité : « Le candidat doit répondre à une question relative à une problématique de gestion en lien avec les situations et les thèmes du programme abordés dans la première partie. »

La question relative à une problématique de gestion sera-t-elle en rapport avec les travaux de la première partie ?

Oui. Les situations et thèmes abordés dans la première partie inspireront la question de gestion.

La question relative à une problématique de gestion doit-elle comporter des éléments de forme ?

Il ne s’agit pas d’un développement structuré. Il s’agit d’argumenter, donc de donner une suite d'arguments pour répondre à la question de gestion. On ne demande pas de thèse / anti-thèse.

On demande une prise de position argumentée, qui se fonde sur les notions et les situations d’organisation abordées en cours.

 

Exemples : Si on se réfère au sujet « pépinières FAULIET » (partie écrite de l’épreuve de spécialité GSI, Nouvelle-Calédonie, session 2011), la question pourrait être « la mise en place d’un PGI garantit-elle toujours une amélioration de la coordination entre les acteurs ? ».

 

Voir les trois exemples proposés dans le corrigé du sujet zéro.